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Sur la route des chefferies du Cameroun, du visible à l’invisible




Le Musée du Quai Branly consacre une exposition exceptionnelle à l’art camerounais de la région des Grassfields. À travers 270 œuvres, l'exposition témoigne de la richesse culturelle unique des Hauts Plateaux de l'ouest du pays.


C’est à un voyage entre passé et présent, entre visible et invisible que le musée du Quai Branly nous convie aujourd’hui. Un voyage qui nous fait découvrir toute la richesse patrimoniale de l’ouest et du nord-ouest du Cameroun, dans cette région des Grassfields où les traditions bamiléké et bamoun restent vivaces.


Un voyage « sur la route des chefferies » pour reprendre le titre de cette exposition à la scénographie impressionnante, qui présente plus de 270 œuvres, dont 230 venues directement du Cameroun. Certains chefs sont même venus à Paris accompagner les masques ou les totems, il a même fallu faire des cérémonies de « décharge » pour qu’ils puissent être approchés par des non-initiés.


L’exposition « Sur la route des chefferies du Cameroun, du visible à l’invisible », se tient à Paris, jusqu’au 17 juillet 2022 au Musée du Quai-Branly-Jacques Chirac.


Nos invités :

  • Sylvain Djache-Nzefa (fondateur et coordinateur général du programme « Route des Chefferies »)

  • Dr Rachel Mariembe (enseignante-chercheure à l’Institut des Beaux-Arts de l’Université de Douala, à Nkomgsamba)

  • Cindy Olohou (historienne de l’art, fondatrice de Wasanii Ya Leo).


Reportage : En Tunisie, beaucoup ont oublié les révoltes dites du pain en 1984 lorsque le gouvernement avait dû augmenter les prix du pain, des céréales et de la semoule à la demande du bailleur de fonds, le FMI. 38 ans plus tard, Lilia Blaise s'est intéressée au travail d'un dessinateur et d'un scénariste qui ont ressuscité ces évènements dans une fiction, intitulée « Une révolte tunisienne, la légende de chbayah ».


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